MIGEOTFrançois
IDENTITE
Section CNU:
Pôle principal:
Pôle secondaire:
Etablissement:
Composante d’affectation:
N° téléphone professionnel:
Mel:
Fonction:
RESPONSABILITES
RESPONSABILITES:
Membre élu (jusqu’en 2004) de la Commission de Spécialistes pour la 7° section (collège B). Membre de la Commission scientifique du Centre de Linguistique Appliquée de l’Université de Franche-Comté (2002 à 2002). Responsable de la Maîtrise de Français Langue Etrangère de l’Université de Franche-Comté (Option été, destinée à des enseignants de FLE en poste à l’étranger) devenue Master 1 métiers du FLE (jusqu’en 2009). Membre du comité éditorial de la revue SEMEN, membre du Comité d’élaboration de la revue Correspondances Freudiennes (jusqu’en 2006). Président du Centre Régional du Livre de Franche-Comté de 2002 à 2012 et actuellement membre du Conseil d’Administration
DIRECTIONS DE THESE
DIRECTIONS DE THESE:
Soutenues :
« Problématique de l’identité chez Patrick Modiano » Feng Shounnong. (1996) (mention très honorable à l’unanimité du jury : Pierre Bayard (Paris VIII), Jean-Yves Debreuille (Lyon II), Yves Gilli (Université de F.C.), F. Migeot(Université de F.C.)
– « Etude de la circularité : calcul et analyse de l’itération dans le récit Nedjmade Kateb Yacine » Fatima Lalaoui (2000), en co-direction avec Claude Condé, mention honorable.
– « Le Texte littéraire dans la communication didactique en contexte algérien » Djamel Kadik (2001) (Mention très honorable à l’unanimité du jury : Abdel Majid Ali-Bouacha (Dijon), Ghilaine Haas (Dijon), Marc Souchon (Besançon), F. Migeot(Besançon).
– « La lecture-compréhension des textes littéraires narratifs en langue étrangère : « la construction/reconstruction du sens du sens chez les étudiants universitaires soudanais» Nazar Mubarak (2009) (Mention très honorable avec félécitations à l’unanimité du jury : Patrick Anderson (Besançon) Pierre Bayard (Paris VIII), Jean-FrançoisBourdet (Maine), FrançoisMigeot(Besançon)
– « Formes, stratégies et effets de la répétition dans la production littéraire (de Leiris à Robbe-Grillet) » Mernaz Korrani 2009 (Mention très honorable)
» L’impact des contextes sociolinguistique et scolaire sur l’enseignement/ apprentissage du français dans le Souf à travers l’analyse des représentations comme outil de description ». Afaf Boudebia ( 2012) mention très honorable avec les félicitations du jury
à soutenir :
Sabrina Hezlaoui-Hamelin : Une approche comparative des représentations sociolinguistiques du français chez des étudiants en mobilité académique en France. Soutenance décembre 2013.
THESE
SUJET DE THESE:
André Breton et le discours freudien dans les Vases Communicants . Dactylographié, Université Paris VIII, 1981. (Thèse de 3° cycle). Dir. Jean Bellemin-Noël. Jury : Jean-Pierre Richard, Georges Raillard. Mention Très bien
RECHERCHE
MOTS CLES:
Mots clés
Sémiotique textuelle, sémiotique différentielle, sémio-didactique de la littérature, analyse du texte littéraire, textanalyse, linguistique, psychanalyse
THEMES:
Thèmes
ACTUELLES ORIENTATIONS DE RECHERCHE
Pour une large part mes travaux de recherche se déploient autour de l’analyse du texte littéraire et des questions de lecture et d’interprétation qui y sont en jeu dans le cadre d’une sémiotique différentielle. Ils développent une approche qui se situe dans le sillage de la Textanalyse : par là, il faut entendre avec J. Bellemin-Noël qu’il est exclusivement question du texte et des effets d’inconscient qui le traversent à l’instant de la lecture, et non pas d’une analyse de « l’inconscient de l’auteur » ou de celui d’un Œuvre. Dans cette perspective, c’est le travail particulier de l’inconscient rencontré par un analisant dans la lecture de tel texte particulier qui est privilégié et non pas l’appareil de la psychanalyse appliqué selon une procédure mécaniquement herméneutique.
Sémiotique de l’altération et textanalyse
Pour mémoire, je rappellerai quelques éléments définitionnels de la « textanalyse » que son instigateur Jean Bellemin Noël présente dans son petit livre (Nathan, 1996) La Psychanalyse du texte littéraire. Partant de l’hypothèse que « tout texte est travaillé par des forces inconscientes qui peuvent être perçues et décrites », « on se met à l’écoute du texte » « sans références ni à ce que l’on sait par ailleurs de l’auteur, ni à ce que nous apportent ses autres œuvres », « on prête l’oreille à ce que n’avouent pas d’emblée les scénarios, à ce que ne disent pas les personnages, à ce que recouvrent les décors, à ce que déguisent les figures de rhétorique, à ce que murmurent les mots, les rimes les sons ».
Ce que dit à sa manière Bellemin-Noël, c’est que c’est dans l’attention portée aux formes langagières que ces forces inconscientes pourront être soulevées. Si l’on exclut l’auteur, si l’on exclut le recours à une étude génétique du texte, si l’on exclut le recours aux autres œuvres du même auteur, il reste un texte dans sa nudité linguistique. Pour rentrer dans ce texte et écouter le système de signes qu’il constitue, il faut une sémiotique, faute de quoi on risque de manquer l’articulation fondamentale qui noue une force inconsciente et un dire. Or cette articulation est décisive, où alors l’inconscient n’a pas pour condition le langage. Pour prêter l’oreille à « ce qui ne s’avoue pas » il faut donc une sémiotique, mais pas n’importe laquelle. Il faut une sémiotique qui dépasse l’idée que le texte littéraire est une machine à communiquer bien réglée et qui fonctionne sans reste au service d’une intentionnalité sans faille, d’une monosémie accomplie, il faut, donc, une sémiotique qui fasse le pari que c’est là où la monosémie trébuche, où le sens s’altère, où la forme fait question, qu’une lecture est relancée, ouverte sur son autre.
Et c’est là, bien sûr, qu’une sémiotique de l’altération doit pour moi être mise en relais avec les présupposés de la textanalyse.
Cette sémiotique de l’altération ou sémiotique différentielle part du principe (PEYTARD 92 « D’une sémiotique de l’altération » Semen 8, PUFC) que pour le lecteur « L’intérêt n’est pas dans l’affirmation d’un sens […] mais dans la “ déhiscence sémantique“, geste essentiel par quoi un sujet déclare sa singularité, dans une pratique indéfinie des différences. »
Cette sémiotique de l’altération diffère, par son orientation de recherche et par ses résultats, et s’oppose, par ses présupposés, à une sémantique de la monosémie (GREIMAS et l’école de Paris) qui pense le sens du texte littéraire comme un ensemble de relations logiques profondes s’exprimant sur la manifestation discursive de surface du texte. Ce qui est privilégié dans cette perspective — dit encore Peytard— « c’est la recherche d’une cohérence première où le sens est configuré. La sémantique de Greimas pose comme donné d’évidence que le sens prend forme par concaténation d’éléments congruents entre eux logiquement ».
Le sens est là, en creux au sein de l’enchaînement des phrases, résultat d’une intentionnalité dont la mise à jour serait le dernier mot de l’analyse. Cette perspective qui exclut a priori le travail de l’inconscient dans le langage, présuppose :
— du côté de la production un scripteur, sujet plein, présent à lui-même et maître de ses intentionnalités et de son dire, qui instrumentaliserait le langage aux fins de communication d’un sens
— du côté de la réception un lecteur qui décoderait le message, déchiffrerait les calculs intentionnels et la cohérence présupposée d’un sens monosémique. Cette opération de déchiffrage suppose de même une réception sans reste ni ambiguïté par un sujet non divisé.
Bien entendu il n’est pas question de nier que le texte littéraire puisse être structuré par un vouloir dire manifeste, mais ce qui fait la valeur heuristique de la sémiotique de l’altération c’est qu’elle va s’intéresser à ce que laisse de côté, pour pouvoir fonctionner, cette sémiotique monosémisante : elle va chercher le sens dans la variation, l’altération, « les points où la chaîne se rompt plutôt qu’en ces nœuds où les maillons s’ajustent l’un à l’autre », là où « ça polysémise », où le sens devient polyphonique, bref, là où l’on peut repérer ces lieux d’altération où le texte devient autre, ce que Peytard nomme « les entailles ».
Cette perspective implique, de son côté :
— du côté de la production, un sujet scripteur qui n’instrumentalise pas la langue au service de la communication d’un sens qui serait déjà là, mais d’un sujet qui se crée dans le langage, qui est effet de langage (BENVENISTE, LACAN). Il s’agit d’un sujet divisé, étranger à lui-même (FREUD, LACAN), dont la vérité advient dans l’aventure du texte, vérité dont il n’est pas maître et qui n’advient à son insu et au-delà de son éventuel projet de maîtrise, que dans le jeu (polysémie, polyphonie, ambiguïté, plurivocité, jeu du signifiant, du signifié etc…) que permet, que suscite la langue.
— du côté de la réception, une attention aux nœuds de l’altération, aux entailles que le lecteur devenu alors le seul sujet du texte, va parcourir, constituer en réseau pour déployer (une partie de ) la pluralité du texte. Mais le lecteur est lui aussi sujet divisé et, dans son parcours des entailles, c’est aussi sa propre vérité inconsciente qui va le guider dans la mise à jour de « pointillés sémiotiques » (PEYTARD).
Cette perspective fondée sur l’altération implique donc aussi une conception de la langue et une conception du sujet.
Quelle langue et quel sujet pour quelle sémiotique ?
Pour construire une telle sémiotique il faut une idée de la langue. Cette idée est à l’opposé de celles qui voudraient faire de la langue un logiciel à communiquer une pensée qui s’encoderait sans reste dans les mots. Un instrument extérieur à lui-même qu’un sujet-conscience utiliserait pour réaliser des intentions logico-discursives préalablement claires, pour se dire lui-même, exprimer ce qu’il serait, et dire un monde transparent au langage. La sémiotique de l’altération ne peut à mon sens que s’articuler avec une idée de la langue telle que l’expose Jacqueline Authier-Revuz (Ces mots qui ne vont pas de soi, Larousse, 1995) avec Lacan. Je reprendrai deux de ses points forts :
1) Jacqueline AUTHIER-REVUZ (Chapitre VII : « La non-coïncidence entre les mots et les choses »)
L’ordre propre à la langue en tant que système différentiel (SAUSSURE) ne correspond pas à l’ordre du monde. Il n’y a pas coïncidence entre les mots et les choses. La langue est toujours dans une relation d’inadéquation avec ce qu’elle vise à nommer. La langue vise le réel mais « le collimateur ne fonctionne pas bien » (LACAN). Ceci est également vrai pour le sujet qui ne peut jamais coïncider avec lui-même dans la langue. Il n’advient comme sujet qu’à s’inscrire dans la langue en tant que « parlêtre » mais en même temps il ne peut que se manquer dans ce renvoi indéfini de signifiant en signifiant. Il est donc sujet à condition d’être parlant, mais à parler il est divisé, sans complétude ni coïncidence avec lui-même, du fait même qu’il est un être de langage. C’est dans cet écart, entre le monde et la langue, et au sein du sujet lui-même qui cherche à se dire, que se situe peut-être la littérature qui ne cesse d’inventer le monde (le réalisme stricto sensu est un projet impossible) et d’inventer le sujet dans une dimension imaginaire.
2) D’autre part, dans le chapitre VIII de Ces mots qui ne vont pas de soi, (« La non-coïncidence des mots à eux-mêmes ») AUTHIER-REVUZ rappelle que la langue est l’espace d’un jeu, d’une ambiguïté permanente qui la travaille au-delà des régularités que la linguistique y construit : c’est lalangue (LACAN) dans la langue. Ce « jeu des mots », loin de constituer un « défaut » de la langue qu’il faudrait résorber pour en faire quelque chose comme un logiciel producteur d’univocité, est la condition même de l’inconscient et le lieu d’expression de la vérité du sujet de l’inconscient qui trouve à se « mi-dire » dans le débordement de l’intention signifiante affichée par le texte.
À partir de tout ce qui vient d’être dit, on voit comment le repérage des entailles textuelles peut être mis en relais avec une lecture psychanalytique du texte : à mon sens, le concept d’entaille ne prend sa véritable dimension qu’avec l’arrière plan de l’inconscient qui élit ces entailles comme lieux privilégiés de son jeu. Sans cette hypothèse, le rendement heuristique de ce concept me paraît démesurément coûteux, d’un rendement trop limité et d’un statut théorique fragile qui se limiterait au registre de la parole ou du discours dans leur dimension sociale (Bakhtine, pêcheux, Bourdieu) sans pouvoir (vouloir) se fonder sur le socle de la langue en tant qu’ordre propre.
La position de l’analisant
À partir de là on comprend comment l’élaboration d’un pointillage sémiotique peut-être mis en relais avec une lecture « analisante » (MIGEOT) et comment je peux construire la position de celui que j’appelle l’analisant, la position du critique dans son rapport au texte et dans son rapport aux figures de l’inconscient soulevées par son écoute dans le texte : en effet l’interrogation sur le sujet dans la langue ne peut manquer de rebondir sur la question du statut du sujet de l’énonciation critique.
Le lecteur analisant, au fil flottant de la lecture puis de l’écriture, va donner contour aux traces d’un sujet inconscient. Mais ce sujet de l’inconscient a un statut labile et occasionnel, voire peut-être transitionnel : précisons qu’il n’est pour nous ni celui de l’auteur, ni celui du personnage, ni celui du texte, il est un mixte de texte et de lecture. Il ne peut apparaître que dans l’acte lectoral où un sujet critique se constitue en (re)constituant – écoutant – interprétant le texte et en produisant à son tour un texte, acte dont on peut pressentir la parenté avec la situation de transfert au sein de laquelle l’interprétation fait sens. C’est dans le moment de l’interprétation où le texte et moi, lecteur, nous entre-prêtons ses signes que d’une part, relançant le réseau des entailles du texte, je fais advenir une figure de son autre, et que d’autre part — mais c’est tout un — je me constitue moi-même comme sujet inconscient du texte. On retrouve sans doute là les deux faces du transfert et sa double énonciation : celle du texte, lettres en souffrance, et la mienne qui s’invente dans leur reprise.
J’adviens donc en tant que sujet dans cette parole (Saussure) qui fait se déployer une autre parole et dans ce moment fécond de l’interprétation où un fragment de ma vérité inconsciente rencontre l’une des figures de celle que le texte tient en réserve.
Cette ligne de travail s’est poursuivie principalement autour d’un corpus bretonien, puis autour des œuvres d’A. Robbe-Grillet et de quelques autres contemporains (Sartre, Camus, Duras, Koltès, Louis-Combet,…).
Quatre ouvrages publiés récemment peuvent illustrer cette ligne de recherche :
A la fenêtre noire des poètes, lectures bretoniennes, Annales de l’université de Franche-Comté – Les Belles-Lettres, Coll. «Linguistique et sémiotique» n° 610, 1996, (220 pages) préface de Gérard Bonnet.
Parcours critique d’orientation textanalytique dans les œuvres majeures d’André Breton (Les Vases communicants, Nadja, l’Amour fou, Poisson soluble, Pont-Neuf)
Lire avec Freud,(Ouvrage collectif (sous la direction de Pierre Bayard) : PUF, “Ecritures”, 1998. (264 pages). Chapitre : « La Nausée, le mal de père ».
Entre les lames, lectures de Robbe-Grillet. Annales littéraires de l’université de Franche-Comté- Les Belles-Lettres. (145 pages). Coll. « Linguistique et sémiotique », n° 37, 1999. La problématique de la textanalyse confrontée aux textes de Robbe-Grillet, lui-même lecteur de Freud et intégrant dans ses stratégies d’écriture des processus réputés primaires.
Claude Louis-Combet, mythe, sainteté, écriture (Ouvrage collectif sous la direction de Jacques Houriez) , José Corti, “ Les essais “, 2000 (285 p.). « Une virgule dans un texte qui bouillonne. Une lecture de Stabat filius in Passions apocryphes ».
Ambiguïté et glissements progressifs du sens chez Alain Robbe-Grillet (Ouvrage collectif publié sous ma direction), Annales littéraires de l’Université de Franche-comté, P.U.F.C. 2004.
Portée des ombres (à paraître) lectures textanalytiques, théorie et ptatique : Balzac, Camus, Duras, Koltès, Laclos, Lagarce, Louis-Combet, Robbe-Grillet, Sartre
Quelle langue et quel sujet pour quelle didactique ?
Vers une sémio-didactique du texte littéraire
Cette direction de recherche contribue conjointement à nourrir la réflexion relative à une seconde ligne de travaux — sémio-didactique —, qui vient la compléter par une élaboration méthodologique relative à l’enseignement de la littérature— notamment dans la perspective du Français Langue étrangère sur laquelle j’ai eu à réfléchir dans le cadre de mes enseignements au CLA (Centre de Linguistique Appliquée).
Il me semble en effet que les quelques linéaments que je viens d’exposer au sujet de la lecture du texte littéraire ne peuvent manquer d’avoir des répercussions sur des questions de didactique. Il convient sans doute de comparer la conception de la langue que j’ai évoquée dans quelques-uns de ses aspects avec J. Authier-Revuz, et celle qui peut sous-tendre les positions dominantes de la didactique (du FLE) aujourd’hui. Trop souvent la langue y est réduite à un simple instrument de communication. C’est un outil, indépendant de celui qui l’utilise — lui-même supposé sujet plein et présent à lui-même — outil qui doit être acquis comme on acquiert un service ou un bien. Or, rentrer dans le système d’une langue étrangère est une expérience qui va bien au-delà de l’usage et de la maîtrise de nouveaux objets dont les référentiels de compétence dresseraient la liste. Il s’agit d’une expérience ontologique où le sujet que nous sommes est remis au travail. Il s’agit, en somme de retisser du sujet dans la langue étrangère, enjeu qui dépasse de très loin le modèle de la transaction qui ferait de l’apprentissage de la langue étrangère l’emplette d’un produit (par exemple un répertoire d’actes de parole) que des techniciens informés voire informatisés — les didacticiens — vous emballeraient proprement. C’est tout le jeu des images constitutives de ce qu’on peut appeler l’identité qui est remis en cause par un apprenant qui s’en trouve dépouillé dans la langue cible et qui attend de l’enseignant qu’il lui renvoie une nouvelle image de lui-même et qu’il lui offre par la langue cible un espace vivant où se créer, plutôt qu’une assistance technique dans une autorégulation de processus cognitifs que personne n’a jamais pu mettre en évidence de manière décisive. À partir de là on comprend comment le texte littéraire conçu comme « laboratoire de langage » (Barthes/Peytard), comme espace de la langue mise au travail, comme espace de jeu (au deux sens du mot : avec et dans la langue), comme prêt à porter identificatoire, peut faire cause commune avec l’idée d’un sujet « effet de langage » qui se constitue par un investissement des formes verbales. Comment aussi une pratique du jeu littéraire peut permettre de renouer avec la créativité dont parle Winnicott dans les processus transitionnels, créativité qui a été requise lors de l’acquisition de la langue maternelle et qui nous a permis d’avoir l’illusion de parler en notre nom.
Il s’agit, dans cette perspective, de concevoir et d’expérimenter des « techniques » d’expression littéraire qui puissent mettre en œuvre des fonctionnements textuels spécifiques et ouvrir ainsi la voie, du dedans, à la rencontre avec des instruments d’analyse littéraire, et partant, à l’analyse des textes « reconnus ». Cette approche, par la mise en œuvre d’une pratique d’écriture de l’apprenant qui se constitue à travers elle en tant que sujet, ne se coupe pas d’un travail sur la langue et ménage donc une communication, par la créativité, avec la didactique du F.L.E. Créativité dont le modèle est à construire avec Piaget, Vygotsky, Bruner et surtout Winnicott. Il s’agit de réconcilier, à travers cette approche créative, l’enseignement de la langue et celui de la littérature. Il s’agit aussi de proposer des procédures de formation d’enseignants permettant que s’effectue le transfert pédagogique . Il s’agit encore de proposer une réévaluation des rapports langue-littérature puisque la littérature, loin de manifester un fonctionnement marginal de la langue devient au contraire un lieu d’observation privilégié de son travail. Il s’agit enfin de réévaluer l’enseignement de la littérature lui-même : la littérature, d’objet à enseigner, devient elle même moyen d’apprentissage.
Une recherche publiée récemment publiés dans peut illustrer cette ligne de recherche : « Enjeux de langues, langues en jeu, entrées en littérature, entrées en langue étrangère », Recherches pédagogiques, « La littérature en classe de français » (Revue de l’Association Marocaine des Enseignants de Français) n° 9, 2003
ACTIVITES:
Activités
SÉMINAIRES
J’ai été co-fondateur (1988) avec Thomas Aron, et sur une proposition de ce dernier, du séminaire de formation doctorale Psychanalyse et littérature, devenu l’année suivante Texte, Lecture, Interprétation. Le séminaire Texte Lecture Interprétation a permis, depuis sa fondation, en évitant tout réductionnisme mécaniste ou instrumentalisant, le dialogue d’approches méthodologiquement et épistémologiquement diverses, permettant de donner un cadre aux lectures (par exemple psychanalytiques, textanalytiques, sociocritiques, sémiotiques informées notamment par la statistique et l’informatique…). Il privilégie donc une activité réflexive critique sur les lectures et les sous-bassements théoriques, en s’intéressant de façon alternante aux points de vue des créateurs, des chercheurs et des théoriciens, à la croisée des domaines de la littérature, de la psychanalyse et des sciences du langage.
Parmi les intervenants :
— pour les rapports psychanalyse-littérature, Pierre Bayard, Jean Bellemin-Noël , Gérard Bonnet, Roland Gori, Jacques Hassoun, Jean Laplanche, Michel Malicet, Catherine Millot, Jacques Nassif, Francesco Orlando, Jacques Poirier, Alain Goulet ;
— pour la théorie de la littérature et les sciences du langage : Jacqueline Authier-Revuz, Claude Burgelin, Michel Collot, Luce Czyba, Laurent Jenny, Dominique Maingueneau, Henri Meschonnic, Jean Peytard, Anne Ubersfeld, Ronald Landheer, FrançoisRastier, Michel Deguy, Ruth Amossy, Alain Rabatel…
— pour les écrivains : Claude Louis-Combet, Michel Deguy, Jean-Michel Maulpoix, Philippe Raulet, Lionel Ray, Bernard Vargaftig, Alain Robbe-Grillet, Ludovic Janvier …
SÉMINAIRES À L’ÉTRANGER :
• Séminaire de formation doctorale : L’approche psychanalytique des textes littéraires de Freud à J. Bellemin-Noël. (30 heures de conférences et travaux dirigés pour des étudiants de 3° cycle de l’Université Centrale du Vénézuéla). Caracas, 1988.
• Séminaires de formationà la didactique de la littérature et à l’anthropologie culturelle dans le cadre de la mise en place de l’enseignement du français à l’Université Nationale de Namibie : Convention CLA-Dept. de Français de l’Université Nationale de Namibie, Windoek, (30 heures de cours et TD par session), Ministère de la Coopération, 1994, 95, 96, 97.
• Séminaire de formationà la didactique de la littérature : «Approches méthodologiques pour la classe de FLE dans le primaire». 30 heures de conférences et TD pour les enseignants du primaire en FLE au Costa-Rica. Ministère de l’Education publique du Costa-Rica, BRCLE et Ambassade de France au Costa-Rica,San José, 1996.
•Séminaire de formationà la didactique de la littérature. 20 heures de conférences et TD pour les enseignants docteurs en Littérature française du département de Français de l’Université d’Alep, Syrie. Sur la demande conjointe de l’Université d’Alep et du Bureau d’Action Linguistique d’Alep, 1999.
• Séminaire de formationà la didactique de la littérature. 30 heures de conférences et TD pour les professeurs et inspecteurs de FLE du secondaire au Maroc : « Littérature et enseignement du FLE ». Institut Français de Casablanca, 2004.
• Séminaire de formationà la didactique de la littérature. 18 heures de conférences et TD pour les enseignants de FLE du secondaire à Tucuman : « Littérature et enseignement du FLE ». Bureau d’Action Linguistique et Université de Tucuman, Argentine, 2004.
• Séminaire de formationà la didactique de la littérature. 12h conférences et TD pour les enseignants du secondaire et professeurs stagiaires. Institut Français de Tétouan/Ecole Normale Supérieure de Tétouan. Maroc, février 2008.
• Séminaire de formationà la didactique de la littérature. 12 h conférences et TD pour les enseignants de FLE. Alliance Française de Toronto. Canada, mai 2009
Organisation de COLLOQUES :
• Membre du Comité d’organisation du colloque organisé par le GRELIS : Répétition, Altération, Réformulation. 22, 23, 24 juin 1998 à Besançon.
• Membre du comité d’organisation2000 ans de rire,colloque international, GRELIS- LASELDI /CORHUM, juin 2000, Besançon.
• Co-organisateur de la rencontre Textes, Discours, Sujet,Table ronde interdisciplinaire, LASELDI-GRELIS, mai 2000, Besançon.
• Co-organisateur de la rencontre internationale Figures du discours et ambiguïté,, GRELIS-LASELDI, janvier 2002, Besançon.
• Maître d’œuvre du colloque international autour d’Alain Robbe-Grillet : Ambiguïté et glissements progressifs du sens, GRELIS-LASELDI, janvier 2002, Besançon.
• Membre du Comité d’organisation du colloque international Les prolongements de la grammaire générale en France et dans les pays francophones au 19ème siècle,LASELDI-GRELIS, septembre 2002, Besançon.
• Co-organisateur des deux journées d’étude sur l’argumentation,Argumentation et prise de position dans le discours,LASELDI, Besançon, octobre 2003. (Avec Ruth Amossy et Roselyne Koren, Université de Tel-Aviv).
• Co-organisateur de la journée d’étude: Rapports de places dans l’épistolaire organisé par le LASELDI (Besançon), le GRIACD de l’Université de Lausanne avec le soutien du réseau transfrontalier CLUSE, février 2005, Besançon.
• Membre du comité scientifique pour l’organisation du 1er Colloque sur la Sémiotique, la Didactique et la Communication,Medea, Algérie, 2005.
* La question du sujet dans le contexte de la mondialisation: discours et pratiques dans la didactique des langues et l’enseignement (coorganisateur), Colloque international UFR SLHS/IUFM ELLIADD, 26-27 janvier 2012, IUFM Fort Griffon/Besançon
EDITION, COORDINATION EDITORIALE :
* Membre du Comité Éditorial de la revue Semen
* Coordination des numéros suivants de Semen :
– n°6 (Texte, Lecture, Interprétation, vol.1, Hommage à Thomas Aron, 1991, 220 p.)
-n° 9 (Texte, Lecture, Interprétation, vol. 2, en collaboration avec Luce Czyba, 1994, 220 p.)
-n°11 (Texte Lecture, Interprétation, vol. 3,Vers une sémiotique différentielle, en collaboration avec Andrée Chauvin, 1999, 380 p.)
– n°12 (Répétition, Altération, Reformulation, en collaboration avec Jean-Marie Viprey, 2000, 270 p.)
Autres ouvrages :
– Ambiguïté et glissements progressifs du sens chez Alain Robbe-Grillet,(Ouvrage collectif publié sous ma direction) : Annales littéraires de l’Université de Franche-comté, P.U.F.C. (165 p.) (2004).
Edition de l’essai de Thomas ARON : Dans le fond de ton cœur je sçay Annales littéraires de l’Université de F.C- Les Belles-Lettres, “Linguistique et sémiotique“ n° 22, 1993 (140 p.). (Avec la collaboration de Stéphane Aron).
Le Vif du sujet, PUFC, (collection « Linguistique et sémiotique »). Contributions du séminaire « Texte, lecture, Interprétation » des années 98-00, (en collaboration)
COMMUNICATIONS
1) A. Breton et le discours freudien dans « les Vases Communicants » : intervention au séminaire « Pratique et éthique de la psychanalyse », CLA-Université de Franche-Comté, 1983.
2) La Révolution Surréaliste : quelle révolution ?: Colloque de la Société Japonaise de Langue et Littérature Françaises. Tokyo, octobre 84 (sur invitation).
3) La créativité dans l’enseignement d’une langue étrangère: Société Franco-Japonaise de Sciences de l’Education. Tokyo, déc. 84 (sur invitation).
4) Une expérience en Didactique du FLE : « Urashima Taro »: Colloque de l’association japonaise des professeurs de français. Tokyo, juin 85 (sur invitation).
5) « Textanalyser » les Vases Communicants ?: Colloque de la Société Japonaise de Langue et Littérature Françaises. Tokyo, juin 85 (sur invitation).
6) La psychanalyse au Japon : intervention au séminaire « l’acte psychanalytique », CLA-Université de Franche-Comté, juillet 87.
7) Interprétation et transfert dans la lecture psychanalytique des textes littéraires: intervention au séminaire « De l’interprétation », CLA-Université de Franche-Comté, juillet. 1988.
8) Freud et Gradiva: intervention au colloque « La littérature au risque de la psychanalyse », Université Lyon II-Lumière, janv. 89 (sur invitation).
9) Une lecture de Poisson soluble (texte 22) d’A. Breton.
Séminaire Texte, lecture, interprétation, DEA-doctorat, groupe de formation doctorale LINGUISTIQUE, SEMIOTIQUE, COMMUNICATION, Université de Franche-Comté, novembre 89.
10) Texte et intertexte dans Poisson soluble (texte 22)Séminaire Texte, lecture interprétation, décembre 90.
11) Présentation de José Antonio Ramos Sucre (poète vénézuélien) Journées Poésie de Rodez, rencontres internationales, juin 90 (sur invitation).
12) La création poétique : intervention aux « 2° Rencontres Internationales de Théâtre et Université » sur le thème « Poésie ». Besançon, juin 91 (sur invitation).
13) Orphée et Eurydice. D’où viennent les poèmes ?intervention à la soirée-débat « Folies et Création », Université de Franche-Comté, novembre 91.
14) Présentation du numéro spécial Breton de la revueEurope dans le cadre de la Revue Parlée. Centre Georges Pompidou, Paris, mai 1991 (sur invitation).
15) Le Miroir qui revient(Robbe-Grillet) : le miroir aux revenants, les revenants au miroir Séminaire Texte, lecture, interprétation, DEA-doctorat du GRELIS, Université de Franche-Comté, mars 92.
16) (Dé)négation, déni; névrose et perversion dans Les Liaisons Dangereuses de Laclos : Intervention au colloque « Dénégation-déni », Centre spécialisé de Recherches en Linguistique Etrangère, Université de Franche-Comté, mai 92.
17) Créativité, apprentissage et développement du sujet. Intervention dans le cadre du stage « Lecture, écriture » de la MAFPEN (Besançon). IUFM de Besançon, février 93.
18) Entre les lames de La Jalousie (A. Robbe-Grillet); journées de Correspondances Freudiennes: « La perversion, haut risque de la psychanalyse », organisées à Besançon, les 11 et 12 décembre 93 (sur invitation).
19) Sémiotique et psychanalyse textuelle. Journée de formation pour des enseignants du secondaire dans le cadre du PAF de la MAFPEN (Besançon). CRDP Besançon, février 94.
20) La question de l’interprétation dans la psychanalyse textuelle. Intervention au colloque « Interprétation, évaluation » de l’Equipe d’Accueil du Centre spécialisé de Recherches en Linguistique Etrangère. Université de F.- C., mars 1994.
21)Souvenirs du triangle d’or (Robbe-grillet) ou les expériences textuelles du Dr. Morgan. Séminaire Texte, lecture, interprétation DEA-doctorat du GRELIS, Université de Franche-Comté, mai 94.
22) De la Didactique du FLE à la Didactique de la littérature. Colloque international de Toulon-La Garde. Organisé par l’ANEFLE et Le Français dans le Monde: « La Didactique au quotidien », septembre 94 (sur invitation).
23) Pont-Neuf vieux démons (A. Breton, La clé des champs). Séminaire Texte, lecture, interprétation DEA-doctorat du GRELIS, Université de Franche-Comté, novembre 94.
24) L’ecriture comme lien incestueux (à propos d’Augias de C. Louis-Combet). Colloque Claude Louis-Combet (resp. Ph. Bonnefis, Centre d’Analyse et de Critique des Textes, Lille III), mars 95 (sur invitation).
25) Didactique du FLE et pratiques de la littérature. X° journées pédagogiques de l’association des professeurs de français de Galice: «La didactique au quotidien». Faculté de Philologie, Université de Santiago de Compostela, février 96 (sur invitation).
26) La Nausée (Sartre), le mal de père. Séminaire Texte, lecture, interprétation, DEA-doctorat, du GRELIS, Université de Franche-Comté, mai 96.
27) Un discours qui roule et tourne (sur «La nuit juste avant les forêts» de B.M. Koltès). Séminaire Texte, lecture, interprétation DEA-doctorat du GRELIS, Université de Franche-Comté, Janvier 97.
28) Le conte comme espace potentiel. Séminaire «Le conte dans la pédagogie, la pédagogie dans le conte», (C.I.E.F) Université de Bourgogne et ANEFLE, mars 1997 (sur invitation).
29) Le journal de Roquentin (La Nausée, Sartre) : d’une écriture sans sujet à l’écriture du sujet. Séminaire T.L.I.«Texte et inscription du sujet» DEA-doctorat, du GRELIS, Université de Franche-Comté, décembre 97.
30) De l’altération à l’autre du texte (sur La Jalousie, Robbe-Grillet). Colloque organisé par le GRELIS : Répétition, Altération, Réformulation. 22, 23, 24 juin 98, Université de Franche-Comté.
31) Une virgule dans un texte qui bouillonne (sur «Stabat filius», Passions apocryphes). Colloque Claude Louis-Combet «Mythe, sainteté, écriture» organisé par le Centre Jacques Petit (Equipe d’Accueil, université de Franche-Comté), les 17, 18, 19 septembre 98 (sur invitation).
32) Polyphonie et inconscient dans Les Liaisons dangereuses(Laclos) : Conférence organisée à l’initiative du GRELIS pour les doctorants et étudiants d’agrégation. Université de Franche-Comté, décembre 98.
33) De l’écriture de soi au sujet de l’écriture, sur le journal de Roquentin (Sartre, La Nausée) : Centre Gaston Bachelard, journée d’étude « Littérature et philosophie », UFR lettres, Université de Bourgogne, janvier 1999 (sur invitation).
34) Enjeux de langue, langues en jeu. Entrées en littérature, entrées en langue étrangère : Conférence. Semaine culturelle du département de Français. Université de Damas, Syrie. 28 avril 99 (sur invitation).
35) On ne coupe la tête qu’aux sujets (sur L’Etrangerde Camus) : Séminaire Texte, lecture, interprétation, DEA-doctorat, du GRELIS, Université de Franche-Comté, mars 2000
36)Sujet, Langue, Texte (rapports entre la textanalyse et la sémiotique différentielle) : journée «Hommage à Jean Peytard », GRELIS-TLI, Université de Franche-Comté, avril 2000.
37) Le sujet etl’Etranger (Camus): Rencontres interdisciplinaires « A propos du sujet et de son inscription textuelle » organisées par le GRELIS, le Laboratoire de psychologie, le Laboratoire de recherches philosophiques sur les sciences de l’action. Université de Franche-Comté, mai 2000.
38) Ecrire, dit-elle (sur Aurélia Steiner, Duras) : Séminaire Texte, lecture, interprétation, GRELIS-LASELDI, Université de Franche-Comté, février 2001.
39) Maîtrise du récit et rhétorique de l’inconscient dans La Jalousied’Alain Robbe-Grillet : Rencontre internationale autour d’Alain Robbe-Grillet :Ambiguïté et glissements progressifs du sens, Université de Franche-Comté, GRELIS-LASELDI, janvier 2002.
40) L’écriture, un activisme de l’ambiguïté : Séminaire Texte, lecture, interprétation, GRELIS-LASELDI, janvier 2003.
41)La poétique de Pierre Reverdy : Recontres « Mardis-mémoire », librairie Les Sandales d’Empédocle (Besançon), février 2003 (sur invitation).
42) L’écriture un atelier de voix (La escriture, un taller de voces) :Rencontres internationales de poésie Caracas, Venezuela, (Consejo Nacional para la cultura, Maison de la poésie Perez Bonalde) juillet 2004. Conférence et lecture de textes en espagnol (sur invitation).
43) Rapport de places et imaginaire dans les lettres de Laclos à Mme Riccoboni : rencontre autour de la problématique :« Rapports de places dans l’épistolaire » organisé par le LASELDI (Besançon), le GRIACD de l’Université de Lausanne avec le soutien du réseau transfrontalier CLUSE. Université de Franche-Comté, février 2005.
44) Pointillages sémiotiques : Textanalyse et sémiotique différentielle : 1er Colloque sur la Sémiotique, la Didactique et la Communication.Medea, Algérie, 2005.
45) Le Cadre européen des langues : Langues pour le Marché, marché des langues:Conférence internationale Union Européenne -Fujian, Dialogue interculturel, Xiamen, Chine, Mars 2006 (sur invitation).
46) Approche de l’image poétique : Troisième Festival Mondial de poésie, Ministère de la Culture, Venezuela, juillet 2006. Conférence en espagnol (sur invitation).
47) Création poétique et interprétation. Séminaire de psychanalyse du collège psychanalytique de Bourgogne – Franche-Comté, Dijon, 29 sept. 2007.
48) Le Cadre européen des langues : un modèle à ne pas suivre. Cumbre social, Parlamento latinoamericano, Hotel Alba, Caracas, août 2007. Communication en espagnol (sur invitation)
49)Les Règles du savoir-vivre dans la société moderneou la comédie du parlêtre : Colloque International Traduire Lagarce, (Année (…) lagarce), Besançon les 18, 19, 20 octobre 2007 (sur invitation).
50) L’Europe et ses cadres : vers l’encadrement de l’énonciation et la mise en grille du sujet : Colloque Exterritorialité, énonciation, discours, Université de Cádiz (Groupe META), 21 et 22 février 2008 (sur invitation).
51) Lire Robbe-Grillet qui a lu Freud ? La psychanalyse à l’épreuve de La Jalousie. Colloque international Robbe-Grillet : « Balises pour le XX° siècle ». Ottawa, Canada. Mai 2009. (Sur invitation)
52) Présentation de Jose-Antonio Ramos-Sucre.Consulats de France et du Venezuela. Spanish Center. (En espagnol) mai 2009. (Sur invitation)
53) La traduction à l’épreuve de l’œuvre de José-Antonio Ramos-Sucre.Séminaire donné en espagnol à l’université expérimentale de Yaracuy, Venezuela, juillet 2009. (Sur invitation)
54)La poétique de Jose-Antonio Ramos-Sucre. Conférence donnée en espagnol à La Casa Bello(Ministère de la culture) Caracas, Venezuela, Août 2009. (Sur invitation)
55) Cadre commun avec photo de famille (ERT, CCE, OCDE), Journée d’étude « Politiques linguistiques en Europe, La question du Cadre européen commun de référence pour l’enseignement des langues » Groupe d’Étude sur le Plurilinguisme Européen (GEPE/ EA 1339 LiLPa), 15 juin 2010. (Sur invitation)
56)Qu’est-ce que l’enseignement des langues dans le cadre du CECRL? (Cadre européen commun de référence pour l’enseignement des langues). Communication au séminaire international « Quelle formation des maîtres en Europe ? Les politiques de dévelopement éducatives en Europe», IUFM de Franche-Comté, 22 et 23 juin 2010.
57) « Engagement et approche actionnelle : J.P. Sartre précurseur du CECRL ? »: colloque international : La question du sujet dans le contexte de la mondialisation: discours et pratiques dans la didactique des langues et l’enseignement , 26 janvier 2012.
PUBLICATIONS
PUBLICATIONS:
Publications
SÉMIOTIQUE LITTÉRAIRE
Ouvrages :
1) A la fenêtre noire des poètes, lectures bretoniennes, Annales de l’université de Franche-Comté – Les Belles-Lettres, coll. «Linguistique et sémiotique» n° 29, 1996 (220 p.), préface de Gérard Bonnet.
2) Entre les lames, lectures de Robbe-Grillet, Annales de l’université de Franche-Comté -Les Belles Lettres, coll. «Linguistique et sémiotique», n° 37, 1999 (145 p.)
3) Lire avec Freud, Ouvrage collectif (sous la direction de Pierre Bayard) : PUF, “Écritures”, 1998. (264 pages). Chapitre : « La Nausée, le mal de père » (18 p.).
4) Claude Louis-Combet, mythe, sainteté, écriture, Ouvrage collectif (sous la direction de Jacques Houriez), José Corti, “ Les essais “, 2000 (285 p.). Chapitre « Une virgule dans un texte qui bouillonne. Une lecture de Stabat filius in Passions apocryphes » (15 p.).
5) Ambiguïté et glissements progressifs du sens chez Alain Robbe-Grillet, Ouvrage collectif, direction éditoriale : Annales littéraires de l’Université de Franche-comté, PUFC, collection « Linguistique et sémiotique » n° 43, 2004 (165 p.)
6) Le Vif du sujet, direction éditoriale(en collaboration avec Andrée Chauvin), PUFC, collection « Linguistique et sémiotique » n° 45, 2004 (320 p .)
7) Traduire Lagarce, Langue, culture, imaginaire. III, Colloque de Besançon. Chap. « Les Règles du savoir-vivre dans la société moderneou la comédie du parlêtre », Les Solitaires intempestifs, 2008. (17 p.)
à paraître :
Portée des ombres, lectures textanalytiques, théorie et ptatique : Balzac, Camus, Duras, Koltès, Laclos, Lagarce, Louis-Combet, Robbe-Grillet, Sartre
ARTICLES
Les revues à Comité de lecture sont mentionnées par : (*)
1) Le poète et le savant in Correspondances Freudiennes(*) n° 5, sept. 1983. (La problématique de l’analyste et de l’écrivain dans leur rapport à l’inconscient)
2) Nadja : « Du fil de la vierge à la toile d’araignée » in Correspondances Freudiennes(*) n° 8-9, oct. 1984. (Une lecture sémio-linguistique du texte de Breton à partir du travail de ses figures inconscientes)
3) L’Amour fou : « La méduse des mers du désir »in Kiyo(*) (annales de l’Université Aoyama Gakuin de Tokyo) 1986. ( Une lecture sémio-linguistique du texte de Breton à partir du travail de ses figures inconscientes)
4) Fragments d’une lecture « textanalytique » de l’Amour fou in Etudes de langue et littérature françaises (*) n° 52 Tokyo 1988. (Une présentation de la méthodologie textanalytique à partir de la lecture du texte de Breton)
5) L’Amour fou : Dans le sillage de la narration in Mélusine(*) (Centre de recherches sur le surréalisme, Paris III) n° XI, 1989. (Le déploiement des figures inconscientes. du texte à partir de son organisation narrative)
6) La Chambre secrète d’Alain Robbe-Grillet : silence, on tournein Correspondances Freudiennes(*) n° 21-22, avril 88 (Le travail des figures inconscientes de la nouvelle d’ARG à partir d’une analyse de l’énonciation)
7) Freud et Gradivain Le Croquant(*) n° 5, avril 89 (actes du colloque Lyon II : « l’application » freudienne de la psychanalyse au texte littéraire)
8) Gradiva, Freud, Breton : jeux de lecture inSemen n° 6, Annales de l’Université de Franche-Comté, 1991. (Lecture, inconscient et intertextualité dans les lectures et reprises du roman de Jensen) Volume d’hommage à Thomas Aron coordonné par l’auteur
9) Breton et la psychanalyse in Europe (*) n° 743, mars 91. numéro spécial Breton (La compréhension de la psychanalyse chez Breton et son incidence sur son œuvre)
10) Présentation du théâtre Nô, in Coulisses, n°4, juin 1991, Université de Franche-Comté. (Brève histoire du genre et présentation de la structure d’une pièce traditionnelle)
11) Entre les vignes : une lecture du texte 22 de Poisson soluble (Breton)in Mélusine (*) n° XIII, 1992 (Le travail des figures inconscientes du texte et leur rapport dialogique avec l’intertexte hugolien desMisérables )
12) Dans la toile de la métaphore : Baudelaire, SPLEEN LXXVIII
(Les fleurs du Mal )Semen 9. Annales de l’Université de F.C., 1994 (Le travail de l’inconscient et le travail de la métaphore)
13) (Dé)négation, déni ; névrose et perversion dans Les Liaisons Dangereuses (Laclos) in Bulletin du Centre de Recherches en Linguistique étrangère.Université de Franche-Comté, 1993 (à partir d’une intervention au colloque « Négation-dénégation », mai 92, Université de Franche-Comté : l’incidence de la dénégation et du déni sur le discours des personnages du roman de Laclos et sur la dynamique narrative du récit)
14) L’ombre d’un doute, une lecture d’Eloge de l’ombre(Tanizaki) in « Mélanges Peytard », volume d’hommage à Jean Peytard publié par les Annales de l’université de Franche-Comté-Les Belles Lettres, 1994. (Le travail de la fantasmatique perverse dans la théorisation des jeux d’ombre et de lumière qu’opère Tanizaki dans son célèbre petit essai sur l’esthétique nippone).
15) La question de l’interprétation dans la psychanalyse textuelle, Cahiers du CsRLE«Interprétation évaluation» Vol. 26, Annales de l’université de Franche-Comté, Les Belles Lettres, 1995.
16) Le Miroir qui revient, le miroir aux revenants, les revenants au miroirLa Revue des Sciences Humaines(*) n° 240, octobre-décembre 1995, «Le conflit d’interprétations» (comparaison de lectures psychanalytiques autour du Miroir qui revient d’Alain Robbe-Grillet)
17) Le discours du déni dans La Jalousie (A. Robbe-Grillet) Correspondances Freudiennes(*) n° 43, «La perversion, haut risque de la psychanalyse», mars 1996. (le dénicomme principe organisateur du texte)
18) Augias : des écuries aux écrits, (une lecture d’Augias), La Revue des Sciences Humaines(*) n° 246 «Claude Louis-Combet», avril-juin 1997. (La mise en abyme par le texte des enjeux inconscient du travail de l’écrivain)
19) Les expérience textuelles du Docteur Morgan(sur Souvenirs du triangle d’ord’A. Robbe-Grillet). Semen n° 11, décembre 99. (L’éclatement de la narration, l’éclatement de la diégèse et la fantasmatique perverse)
20)De l’altération à l’autre du texte (sur La Jalousie, Robbe-Grillet), Semenn° 12 (Colloque organisé par le GRELIS : Répétition, Altération, Réformulation). Pressses Universitaires de l’Université de Franche-Comté, collection « Linguistique et sémiotique », 2000. (Le travail de l’altération et de la reprise du texte par lui-même et sa relation avec les processus primaireset avec la rhétorique du déni)
21) Figures du sujet (sur L’Etrangerde Camus), Semen n°14, « Textes, Discours, Sujet », PUFC, 2002. (Une typologie du sujet dans le roman de camus : du sujet phénoménologique au sujet de l’inconscient)
22) Humour et approche empirique des horizons d’attente Actes du colloqueGRELIS/CORHUM 2000 ans de rire,PUFC, collection « Linguistique et sémiotique », 2002.
23) Ecrire, dit-elle (sur Aurélia Steiner, Duras) : Images du mythe, images du moi, volume d’hommage à Marie Miguet, PUFC, « collection littéraire », 2002.
24) Maîtrise du récit et rhétorique de l’inconscient dans La Jalousied’Alain Robbe-Grillet in Ambiguïté et glissements progressifs du sens, PUFC, collection « Linguistique et sémiotique », 2004.
25) Un discours qui roule et tourne (sur «La nuit juste avant les forêts» de B.M. Koltès)
in Les signes dans tous leurs états, volume d’hommage à Yves Gilli, PUFC, 2004. (L’éclatement du sujet de l’énonciation et son rapport avec le sujet de l’inconscient)
26) Le journal de Roquentin (Sartre, La Nausée) : d’une écriture sans sujet à l’écriture du sujet in Le Vif du sujet, collection « Linguistique et sémiotique », PUFC, 2004.
27) Du sang dans les yeux (une lecture de la nouvelle éponyme de Claude Louis-Combet) in Verrières, deuxième série, n°1 (revue de Centre Régional du Livre de Franche-Comté), 2004.
28) Rapports de place et imaginaire dans les lettres de Laclos et Mme Riccoboni in Semen 20, Revue de sémio-linguistique des textes et des discours, « Les rapports de places dans l’épistolaire », PUFC, 2005.
29) Textanalyse et sémiotique différentielle : Actes du 1er Colloque sur la Sémiotique, la Didactique et la Communication.Medea. Algérie. 2005.
30) Du « lecteur modèle » aux « entailles » ou la lecture comme pratique du ziuthre (*) (La Chambre, de Jean-Paul Sartre). Article commandé par La lecture LittéraireN° 9 « Lecture et Psychanalyse », déc. 2007. (23 p)
31) Les Règles du savoir-vivre dans la société moderneou la comédie du parlêtre : Actes du Colloque International Traduire Lagarce, Les Solitaires intemperstifs, 2008. (17 p)
32) L’Europe et ses cadres : vers l’encadrement de l’énonciation et la mise en grille du sujet : Interventionau colloque Exterritorialité, énonciation, discours, Université de Cádiz, publié sur le site web de l’APED
33) Création poétique et interprétation. Actes du séminaire de psychanalyse du collège psychanalytique de Bourgogne – Franche-Comté, 2008.
34) Pointillages théoriques (Contribution théorique à la sémiotique différentielle) volume d’hommage à Marc Souchon, PUFC, 2009. (10 p)
35) MIGEOTF., (2010) , « L’Europe et ses cadres : vers l’encadrement de l’énonciation et la mise en grille du sujet » in Kholer E. et Lopez Nuñoz J.M. (eds), Exterritorialité, énonciation, discours, Peter Lang Éditions scientifiques internationales, Berne, 2010, 221-238
36) MIGEOTF., (2009), « Pointillages théoriques » (Contribution théorique à la sémiotique différentielle) in Holtzer et Lebaud (eds), Parcours, Traces autour du texte et des langues, PUFC, Besançon, ,199-211
37) MIGEOTF., (2010) » Inconscient et poétique, La Jalousie »in Roman 20-50, Y. baudelle (éd.) hors série n° 6 sep. 2010 Alain Robbe-Grillet, Septentrion, Lille, 178-193
38) MIGEOTF., (2010) « La Jalouise, roman, poème, rêve »in Lecturede Robbe-Grillet, Wagner et Dugast (éds), Presses Universitaires de Rannes, Rennes, 117-130
39) MIGEOTF., (2011)« Lire Robbe-Grillet qui a lu Freud ? La psychanalyse à l’épreuve de La Jalousie. »in Allemand et Millat (eds), Alain Robbe-Grillet : Balises pour le XX° siècle ».Ottawa, Canada. Université d’Ottawa et Paris III Sorbonne Nouvelle (282-292)
40) ( à paraître) « Engagement et approche actionnelle : J.P. Sartre précurseur du CECRL ? », colloque international : La question du sujet dans le contexte de la mondialisation: discours et pratiques dans la didactique des langues et l’enseignement .
SEMIO–DIDACTIQUE DE LA LITTÉRATURE,
et Français Langue Étrangère
1) La Bal(l)ade imaginairein le Français Aujourd’hui(*), sup. au n° 52, déc. 80 (Présentation synthétique de l’ouvrage du même nom, voir infra« publications collectives »)
2) Voyages-potins et Bal(l)ade imaginairein Le Français dans le Monde(*), n° 178, juillet 83. (Élaboration de fictions et apprentissage d’une langue étrangère : Réflexions et propositions méthodologiques à partir de deux expériences de terrain)
3) La créativité dans l’enseignement d’une langue étrangère (exemple du français)in Bulletin de la Société Franco-Japonaise de Sciences de l’Education(*) n° 6, Tokyo, janv. 85 (publié en japonais)
4) Une expérience en Didactique du FLE : »Urashima Taro » in Bulletin de l’association japonaise des professeurs de français(*) n° 14 , Tokyo 1986 (l’exploitation, la réécriture et la dramatisation d’un conte traditionnel japonais par des étudiants du département de Français de l’université Aoyama Gakuin)
5) Créativité et Didactique des langues étrangères in Kiyo(*) (Annales de l’Université Aoyama Gakuin de Tokyo), Tokyo, 1986. (Recherche de références théoriques pour la créativité dans le cadre des recherches sur l’apprentissage d’une langue étrangère et l’acquisition du langage)
6) Du bon usage des ateliers d’écriture in le Français dans le Monde(*), n° 269, novembre-décembre1994 (L’enseignement de la langue et de la littérature par une écriture créative : propositions d’exercices et analyse de productions d’étudiants)
7) Didactique du FLE et pratiques de la littérature in Recherches et applications (Le Français dans le Monde(*)) juillet 95. Numéro consacré aux actes du colloque « La Didactique au quotidien », Toulon, septembre 94.
8) De la langue à la littérature, un espace potentiel, Confluences (revue de l’IUFM de l’académie de Lyon) n° 6, mars 1996.
9) Le conte comme espace potentiel, Actes du séminaire «Le conte dans la pédagogie, la pédagogie dans le conte», (C.I.E.F), Université de Bourgogne et ANEFLE, mars 1997.
10) Enjeux de langues, langues en jeu, entrées en littérature, entrées en langue étrangère , Recherches pédagogiques (*), « La littérature en classe de français »(Revue de l’Association Marocaine des Enseignants de Français) n° 9, Agadir, 2003.
11)Le Cadre européen commun de références pour les langues, Quel enseignement des langues pour l’Europe ? Langues pour le Marché, marché des langues. Terres de FLE n°1, PUFC, 2008 (12 p
12) L’Europe et ses cadres : vers l’encadrement de l’énonciation et la mise en grille du sujet : Site web de l’APED. 2009
Ouvrages collectifs
13) La Bal(l)ade imaginaire (dactylographié, 175 p) Université de Franche-Comté, 1979. (Réflexions méthodologiques et propositions pédagogiques à partir de l’élaboration d’une fiction et de son adaptation cinématographique)
14) En Français avec vous. N.H.K (Télévision Nationale Japonaise) 1985-87. (Matériel didactique à l’usage de l’étudiant pour le cours annuel de français télévisé : 6 livrets pédagogiques de 80 p env. chacun; 36 leçons. Elaboration des dialogues des leçons et des séquences rythme et intonation)
15) Servir de Guide .N.H.K. mars 86 (support didactique pour une série de deux émissions TV pour public avancé. 1 livret de 80 p. Elaboration des dialogues des leçons et des séquences rythme et intonation)
16) En Français avec vous. NHK Bunka-center (Centre culturel de NHK) 1987. (ensemble didactique réalisé par le centre culturel de NHK à partir d’une refonte du programme TV: 1 livre de l’étudiant (200 p) 16 video-cassettes pour 32 leçons. Elaboration des dialogues des leçons et des séquences rythme et intonation)
17) Au Louvre avec vous.NHK. août 1986 et 1987 (Matériel didactique pour l’étudiant du cours TV de français : 1 livret de 100 p, 8 leçons. Elaboration des séquences rythme et intonation)
REALISATIONS:
Cours de français télévisépour la télévision nationale japonaise, En Français avec vous (1985-87) (voir « publications collectives », supra.. Émission hebdomadaire de 30′ (réalisation des dialogues, de la section phonétoque et interptération des sketches)
Une bonne pâte: film réalisé par des stagiaires du Centre de Linguistique Appliquée (CLA), Université de F.C., CLA, DRAC. 1979. (voir supra La Bal(l)ade imaginaire)
Voyagages-Potins: Feuilleton radio réalisé par des stagiaires du Cours d’été pour Professeurs de Français (CLA, été 79). Cf. compte-rendu dans le Monde de l’éducationn° 68 par R. Darmon : »Un cours de Roman-feuilleton ».
Urashima Taro: Dramatique radio réalisée par les étudiants de l’Université Aoyama Gakuin de Tokyo (4° année de licence) à partir d’un conte traditionnel japonais. Diffusion en France sur Radio-Bip, Besançon, 1985.
Dramatiques(de type radiophonique) conçues et enregistrées en collaboration avec les professeurs-stagiaires des cours d’été du CLA, 1981, 82, 83, 84, 85, 88, 89, 90, 91.
DOCUMENTS LIES
Sites:
Site littéraire de FrançoisBon: actualité littéraire, critique et création littéraire.
Maison des écrivains et de la littérature :
Documents:
Productions littéraires :
BIBLIOGRAPHIE
Poésie:
Grenier de sable, Chambelland, Paris, 1985.
Scènes du temps, Le pont de l’épée, Paris, 1987.
Pierres trouvées, Piedras encontradas, Édition bilingue. Orénoques,
Paris, 1990.
Descente de voix, Prix Ilarie Voronca 1993, éditions J. Brémond,
Remoulins-sur-Gardon, 1994.
Paul Gonez, Dans les forges du regard, avec Paul Gonez (sculpteur),
préface de Claude Louis-Combet, Cêtre, Besançon, 1996.
Entre bois et voix, avec Jean-Paul Dromard (sculpteur), Neo Edi-
tions, Besançon, 1997.
Clair de page, avec Yannick Charon (graveur), Éditions de l’En-
vol, Forcalquier, 1999.
Valse, livre d’artiste avec des xylographies de Yannick Charon,
2003.
Silhouettes, avec Mylène Peyreton (sculpteur), Éditions Artotem,
Besançon, 2005.
Mer, livre d’artiste, gravures de Yannick Charon, video François
Escoffier, 2005.
Andante con apuro, El Perro y la Rana, coll. «Poemas urgentes»,
Caracas, Venezuela, 2006 (éd. en espagnol).
Moires, Éditions Empreintes, Moudon, Suisse, 2007.
Reflejos,Ediciones poesía, Valencia, Venezuela, 2007 (éd. en es-
pagnol).
Formes de la nuit, livre d’artiste, lithographies Caribaï Migeot,
Éditions Æncrages, Baume-les-Dames, 2008.
Lenteur des foudres, Érès, Paris, collection «Po&psy», 2008.
Chant des poussières, L’Atelier du Grand Tétras, dessins Michio
65
Takahashi, Mont-de-Laval, 2010.
Lentitud del vino, anthologie bilingue (français-espagnol), traduc-
tion Judith Alvarado, Monte Ávila, Caracas Venezuela, 2010.
Maintenant, il est temps. Pierre Bonnard, coll. «Carnets d’atelier»,
Virgile, 2011.
Derrière les yeux, Atelier du Grand tétras (2011)
Clair-obscur, Atelier du Grand tétras (2013)
FICTIONS:
Aux éditions CLE International, Paris, collection «Version Ori-
ginale»:
Les lunettes de Monsieur Dubalais, 1993.
Traces d’encre, 1994.
Nouvelles:
Chronique, éditions de l’Envol, Forcalquier, collection «Envol et
contre tout», 2000.
Avant l’éclipse, illustration Caribaï Migeot, Éditions Virgile, Be-
sançon, 2004.
Le Poids de l’air, illustration Caribaï Migeot, Éditions Virgile,
2006.
Textes «expérimentaux»:
Flux tendu, L’Atelier contemporain, n° 4, automne/hiver 2001
et http://www. remue. net
Démolitions, http://www. remue.net
Romans:
Orly-Sud, L’Harmattan, Paris, collection «Écritures», 1998.
Essais:
À la fenêtre noire des poètes, lectures bretoniennes, préface de Gé-
rard Bonnet, Coll. Annales littéraires, série linguistique et sémio-
tique, PUFC, Besançon, 1996.
Entre les lames, lectures de Robbe-Grillet, Coll. Annales litté-
raires, série linguistique et sémiotique, PUFC, 1999.
Traductions:
Anthologie de la poésie contemporaine vénézuélienne, Éditions Patiño,
Genève, 2001.
Poemas selectos / Poèmes choisis de Rafael Cadenas, édition bilingue,
66
Écrits des forges, Québec / BiD & C°, Caracas, 2004.
José Antonio Ramos Sucre, Le Chant Inquiet / El Canto anhelante, sé-
lection de poèmes, traduction et présentation, illustration Caribaï
Migeot, co-édition bilingue Monte-Avila (Venezuela) / L’Atelier
du Grand Tétras (France), 2009.
Trois voix à Minase, Renga, traduction et adaptatation avec Shinji
Kosaï; Érès, «Po&psy», 2012.
Revues:
Plusieurs textes de création, en version originale ou traduction
(poésie, nouvelles) parus dans les revues Europe, Offset, Hespéris, La
Revue commune, Le Nouveau Recueil, l’Atelier Contemporain, Revista Na-
cional de Cultura(Caraca, Venezuela), World Literature(Chine) …
Parutions en Anthologies:
Anthologie Franco-Latinoaméricaine, bilingue, poèmes, pp 51-61,
Éditions La Porte/New Legend, Paris, 1999.
Cent-un poèmes et quelques contre le racisme,poème, p 119, Le Temps
des cerises, 1998.
Des écrivains en Franche-Comté, Centre régional du livre de
Franche-Comté, nouvelle, Besançon, 2001
Nous la multitude, poème p. 82, Le Temps des cerises, 2011.
Calendrier de la poésie francophone, Alhambra publishing, 2088 et
2011.
Prix littéraires:
Prix Ilarie Voronca (Ville de Rodez) 1993 pour Descente de voix.
Grand Prix universitaire de la nouvelle: premier prix de l’Aca-
démie de Bourgogne 2000 pour Vanités.
Télévision:
Ouvrez les guillemets, entretien, lecture, réalisateur: F. Guthelben,
FR3-Bourgogne-Franche-Comté. 2004
La Libreria mediatica, entretien, lecture, télévision nationale vé-
nézuélienne. 2007
Vous n’avez ajouté aucun raccourci